Nous souhaitons remercier Marie-Laure Hubert Nasser, Directrice de la communication de la Ville de Bordeaux et écrivaine*, de nous avoir accordé de son temps afin de répondre à nos questions au sujet de son experience BlookUp.
Qu’est-ce qui a motivé l’utilisation de vos blooks ?
Tout d’abord, nous souhaitons relayer les idées des entrepreneurs bordelais ! Par ailleurs, nous sommes dans les premières villes de France sur les réseaux sociaux grâce à une équipe très engagée. C’est le « made in Bordeaux » qui nous a permis d’être classés dans les premiers. Les bordelais sont les ambassadeurs de leur ville.
Nous sommes abonnés à BlookUp et recevons nos blooks Twitter, Instagram et Facebook tous les trimestres. Cela nous permet d’avoir une capture à l’instant T de notre communication. Ainsi, nous retravaillons nos contenus, et nous interrogerons en permanence sur leur pertinence, sur la progression des sujets évoqués.
Quelle utilité trouvez-vous à vos blooks ?
C’est un excellent outil d’analyse. C’est aussi un outil du souvenir.
Par exemple, lorsque nous recevrons notre blook le mois prochain, nous aurons le souvenir du passage du chef Raoni, un moment de mémoire qui a été extrêmement marquant pour notre maire, pour le conseil municipal et pour les bordelais.
C’est aussi un livre ! N’oublions pas que Bordeaux est la ville des trois M : Montesquieu, Montaigne et Mauriac. C’est une ville dans laquelle les mots comptent, le livre compte. Les blooks s’inscrivent finalement dans la modernité de nos empreintes sur la ville, et en même temps, ils rassemblent notre histoire. Nous marchons dans les pas de nos aînés ! Nous n’écrivons pas des œuvres littéraires toute la journée, mais il y’a une exigence rédactionnelle forte.
Avez-vous eu des retours particuliers sur l’usage de vos blooks ?
La première fois que nous les avons reçus, le directeur de cabinet y a trouvé un côté très ludique et immédiat. Cela l’a intéressé. Mais je ne recherche pas des réactions, ce n’est pas le but.
Apporteriez-vous des améliorations à nos blooks ?
Je ne suis pas certaine qu’il faille un format, ou une taille différente, pour chaque livre en fonction du réseau social. Personnellement, je choisirai une collection unique. L’idée d’une empreinte numérique générale compte. Des messages éphémères qui deviennent un bel objet !