Sur les réseaux sociaux, il est important de faire un travail de rétrospective. Afin de mesurer l’efficacité de la stratégie déployée, valoriser le contenu partagé, présenter l’activité en interne etc… Mais face à la multiplicité des réseaux et la densité des informations partagées, cette opération peut vite s’avérer complexe. Sauf si vous faites un blook comme la RATP !
La RATP a souhaité « matérialiser » le contenu publié sur ses médias sociaux et valoriser son activité digitale. Nadine Kerganou, responsable de la communication digitale et conversationnelle du Groupe, revient sur les différents usages du blook par son service, rencontre :
Commençons par le commencement, combien avez-vous de blooks pour la RATP ?
Nadine Kerganou : Nous avons imprimé nos livres RATP Groupe Twitter (Top 100 des tweets) & Instagram relatifs à 2018, ainsi que les Top 100 des comptes Twitter de cinq de nos lignes de métro (chaque ligne de métro et de tramway a un compte Twitter dédié).
Quels usages en avez-vous fait ?
N. K. : Nous avons imprimé l’ensemble de ces livres en fin d’année 2018. Les blooks Twitter & Instagram ont principalement été distribués en interne : à la direction, aux personnes qui travaillent à la communication du Groupe RATP et également à toute l’équipe social media.
La RATP possède beaucoup de médias sociaux (Facebook, Instagram, 30 comptes Twitter, Linkedin, YouTube et SoundCloud) avec de grosses communautés pour chaque plateforme. Au sein de l’équipe social media, un collaborateur dédié à un réseau social n’a pas toujours le temps de suivre l’activité digitale d’un autre réseau, géré par son collègue. Le blook Twitter nous a servi d’objet de valorisation collective du travail accompli.
Le blook reste sur les bureaux, on peut le montrer, le donner, l’emprunter etc. Le côté « partage » de l’objet est une véritable vertu je trouve.
Le blook Instagram nous a permis de montrer la manière dont on présente le Groupe à l’extérieur, avec une image très positive, très poétique aussi.
Découvrez notre gamme de blooks sur BlookUp.com
Pour quels objectifs ?
N.K. : Nous souhaitions matérialiser notre contenu pour plusieurs raisons. La première est qu’en matérialisant un contenu qui n’est pas forcément visible ou accessible par tous, on le valorise. Par exemple certains collaborateurs étaient fiers de constater à quel point les réseaux sociaux véhiculaient une image positive et humaine de leur entreprise.
Nos collaborateurs ont tous été séduits par l’objet. Le blook leur a permis de faire de belles découvertes, et même d’être fiers du travail réalisé.
Ensuite, éditer cette matière non palpable nous a permis de donner de la visibilité au travail quotidien réalisé par toutes les équipes dans l’entreprise sur les réseaux sociaux pour nourrir la marque numérique, de rendre compte de notre activité et de sa capacité à structurer des relations avec le public
Les blooks sont également de formidables objets pour inscrire la matière foisonnante, créative mais totalement éphémère des réseaux sociaux dans la durée, le physique, le palpable et le concret. Chaque blook raconte ainsi l’histoire d’une année.
Quelles ont été vos impressions quand vous avez découvert le blook de la RATP ?
N. K. : Ma première impression a été très bonne. J’ai eu plaisir à découvrir l’objet comme à parcourir le livre. Le blook reste sur les bureaux, on peut le montrer, le donner, l’emprunter etc. Le côté « partage » de l’objet est une véritable vertu je trouve.
Et les réactions des collaborateurs à qui vous l’avez offert ?
N. K. : Nos collaborateurs ont tous été séduits par l’objet. Au-delà d’attiser leur curiosité, le blook leur a permis de faire de belles découvertes, et même d’être fiers du travail réalisé. En cela le livre remplit bien son rôle de rétrospective.
Avez-vous prévu de nouveaux blooks RATP pour 2019 ?
N.K. : Notre première expérience avec BlookUp est positive et le ressenti interne est bon. Donc pourquoi pas si d’autres occasions se présentent !
Merci à Nadine Kerganou d’avoir répondu à nos questions !