Quelle était votre première réaction face au blook de la Cité du Vin ?
J’ai découvert les blooks Instagram de la Cité du Vin lors de notre dîner de gala. En effet, c’est un produit extrêmement bien présenté et fini. D’ailleurs, l’utilisation du support papier pour restituer des actions menées sur les réseaux sociaux, des plateformes très éloignées de la dimension physique m’a surpris. J’ai trouvé cela très original ! Je l’ai aussitôt montré à d’autres membres de notre équipe, ainsi qu’à certains invités pour avoir leur retour.
« C’est très original de pouvoir s’approprier des contenus digitaux à travers l’usage d’un livre, qui reste un vrai outil de partage. »
Quels types de retours avez-vous eus face au blook de la Cité du Vin?
La plupart du temps, les personnes confrontées au blook ont eu une réaction similaire à la mienne. Ils trouvaient que c’était très original de pouvoir s’approprier des contenus digitaux à travers l’usage d’un livre, qui reste un vrai outil de partage. Par le biais des blooks, l’expérience du réseau social est prolongée et on arrive à faire ressortir ce qu’on ne peut montrer dans l’univers digital.
Comptez-vous réaliser d’autres blooks ? Dans quel contexte pourriez-vous les utiliser ?
Nous allons probablement nous lancer dans la réalisation d’autres blooks pour la Cité du Vin. Dans le cadre des expos par exemple, nous pourrons le distribuer aux personnes qui étaient impliquées dans la mise en place et l’organisation de l’événement, comme l’équipe interne ou le comité scientifique. Ce serait également intéressant de l’offrir comme cadeau à notre conseil d’administration, nos partenaires ou à nos collaborateurs. Personnellement, je pense que le blook est très adapté à un usage interne. Mais il faut réfléchir davantage aux usages que nous pourrions faire de cet outil dont les possibilités sont multiples.
Merci à Philippe Massol d’avoir répondu à nos questions !